Dimitris
Lipertis
Τα μαύρα μάτια
Les yeux noirs
Viens, jeune fille, que je regarde tes yeux noirs
Qui jettent ces flammes que produit le feu
Et s’ils réduisent mon malheureux cœur en morceaux
Ne t’en fais pas, ma belle, laisse-les le dévorer.
Qui jettent ces flammes que produit le feu
Et s’ils réduisent mon malheureux cœur en morceaux
Ne t’en fais pas, ma belle, laisse-les le dévorer.
Mais si par hasard je brûle et deviens bois mi-brûlé,
Plante—moi dans ta cour, mets—toi dans un coin
Parce qu’en te voyant jour après jour
Il se peut que je pousse, que je trouve consolation.
Plante—moi dans ta cour, mets—toi dans un coin
Parce qu’en te voyant jour après jour
Il se peut que je pousse, que je trouve consolation.
Et une fois bien enraciné, je grimperai haut et fleurirai
J’étendrai des branches pour que tu viennes dessous,
Pour t’inonder de ma beauté, de mes fleurs
A cause de la douceur de ces yeux-là.
J’étendrai des branches pour que tu viennes dessous,
Pour t’inonder de ma beauté, de mes fleurs
A cause de la douceur de ces yeux-là.
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